Moab vivait en paix depuis sa jeunesse, il était en repos comme un vin sur sa lie. Il n'a pas été vidé d'un récipient dans un autre, il n'est pas parti en exil. C'est pourquoi son goût lui est resté et son parfum ne s'est pas altéré. Cependant voici que les jours viennent, déclare l'Eternel, où je lui enverrai des hommes pour le transvaser. Ils videront ses récipients et feront éclater ses outres. Moab aura honte de Kemosh, tout comme la communauté d'Israël a eu honte de Béthel, de l'objet de sa confiance.
Comment pouvez-vous dire: «Nous sommes des guerriers, des soldats redoutables prêts à combattre?» Moab est dévasté, ses villes partent en fumée, l'élite de ses jeunes gens descend au massacre, déclare le roi, celui dont le nom est l'Eternel, le maître de l'univers.