Mardochée

Le nom Mardochée apparaît 16 fois dans 3 livres de la Bible.

Il y avait à Suse, la capitale, un Juif du nom de Mardochée.

A la mort de ses parents, Mardochée l'avait adoptée.

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Esther ne révéla ni son origine ni sa famille, car Mardochée lui avait interdit de le faire.

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Lorsque son tour d'aller vers le roi arriva, Esther, fille d'Abichaïl - l'oncle de Mardochée, celui qui l'avait adoptée - ne réclama que ce que lui conseilla Hégaï, l'eunuque du roi responsable des femmes.

La deuxième fois qu'on rassembla des jeunes filles, Mardochée était assis à la porte du roi.

Esther n'avait toujours pas révélé ni sa famille ni son origine, car Mardochée le lui avait interdit, et elle respectait ses ordres comme lorsqu'elle était sous sa tutelle.

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A ce moment-là, Mardochée était donc assis à la porte du roi.

Mardochée en fut informé et le révéla à la reine Esther, qui parla de sa part au roi.

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Mardochée, cependant, ne pliait pas le genou et ne se prosternait pas.

Haman s'aperçut qu'effectivement Mardochée ne pliait pas le genou et ne se prosternait pas devant lui, et il fut rempli de colère.

Cependant, il ne jugea pas suffisant de porter la main contre Mardochée seul.

En effet, on lui avait révélé à quel peuple celui-ci appartenait et il chercha à exterminer tous les Juifs installés dans tout le royaume d'Assuérus, à savoir le peuple de Mardochée.

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Informé de tout ce qui se passait, Mardochée déchira ses vêtements, se couvrit d'un sac et de cendre, puis sillonna la ville en criant à pleine voix son amertume.

Elle fit parvenir des vêtements à Mardochée pour le pousser à s'habiller et à retirer son sac, mais il ne les accepta pas.

Elle appela alors Hathac, l'un des eunuques que le roi avait attachés à son service, et le chargea d'aller demander à Mardochée ce qu'il avait et pourquoi il se comportait de cette manière.

Hathac rejoignit Mardochée sur la place de la ville qui fait face à la porte du roi, et Mardochée lui raconta tout ce qui lui arrivait.

Hathac vint rapporter à Esther les paroles de Mardochée.

Celle-ci le chargea alors d'aller dire à Mardochée: «Tous les serviteurs du roi et la population de ses provinces savent que toute personne, homme ou femme, qui pénètre chez le roi, dans la cour intérieure, sans avoir été convoquée n'a droit qu'à un seul verdict: la mort.

On rapporta donc à Mardochée les paroles d'Esther, et Mardochée lui fit répondre: «Ne t'imagine pas que ta position au palais te permettra d'être sauvée, au contraire de tous les Juifs.

Esther fit répondre à Mardochée: «Va rassembler tous les Juifs qui se trouvent à Suse et jeûnez pour moi! Ne mangez et ne buvez rien pendant trois jours, ni la nuit ni le jour.

Mardochée s'en alla faire tout ce qu'Esther lui avait ordonné.

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Mais lorsqu'il vit que Mardochée, toujours à la porte du roi, ne se levait toujours pas et ne tremblait toujours pas devant lui, il fut rempli de colère contre lui.

Cependant, tout cela n'a aucune valeur pour moi aussi longtemps que je verrai Mardochée, le Juif, assis à la porte du roi.

Sa femme Zéresh et tous ses amis lui suggérèrent alors: «Fais préparer une potence de 25 mètres de haut et demain matin demande au roi qu'on y pende Mardochée.

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On y trouva mentionnées les révélations faites par Mardochée à propos de Bigthan et de Théresh, les deux eunuques du roi qui avaient la garde de l'entrée et qui avaient voulu porter la main contre le roi Assuérus.

Le roi demanda: «Quelle marque d'honneur et de grandeur a-t-on accordée à Mardochée pour cela?» «On ne lui a absolument rien accordé», répondirent les jeunes serviteurs du roi.

Le roi demanda alors: «Qui donc est dans la cour?» - Haman avait fait son apparition dans la cour extérieure du palais pour demander au roi de faire pendre Mardochée à la potence qu'il avait préparée à son intention.

Il faut confier le vêtement et le cheval à l'un des plus illustres princes du roi, mettre cette tenue à l'homme que le roi veut honorer, le conduire, monté sur le cheval, sur la place de la ville et crier devant lui: 'Voici comment l'on agit pour l'homme que le roi veut honorer!'» Le roi dit à Haman: «Dépêche-toi de prendre le vêtement et le cheval, comme tu l'as dit, et fais tout cela pour le Juif Mardochée qui est assis à la porte du roi, sans rien négliger de tout ce que tu as mentionné!» Haman prit donc le vêtement et le cheval, mit cette tenue à Mardochée et le conduisit, monté sur le cheval, sur la place de la ville en criant devant lui: «Voici comment l'on agit pour l'homme que le roi veut honorer!» Mardochée retourna ensuite à la porte du roi, tandis qu'Haman s'empressait de rentrer chez lui, dans une attitude de deuil et la tête couverte.

Lorsqu'il exposa point par point à sa femme Zéresh et à tous ses amis tout ce qui lui était arrivé, ses conseillers et sa femme Zéresh lui dirent: «Si ce Mardochée devant lequel tu as entamé ta déchéance est un Juif, tu ne pourras rien faire contre lui: tu ne pourras que perdre la partie contre lui.

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Harbona, l'un des eunuques, dit alors devant le roi: «Il y a une potence préparée par Haman à l'intention de Mardochée, celui qui avait parlé pour le bien du roi.

Le roi ordonna: «Pendez-y donc Haman!» Ainsi, on pendit Haman à la potence qu'il avait préparée pour Mardochée, et la colère du roi s'apaisa.

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Le jour même, le roi Assuérus donna la propriété d'Haman, l'adversaire des Juifs, à la reine Esther et Mardochée eut à se présenter devant lui, car elle avait révélé ce qu'il était pour elle.

Le roi retira son anneau, celui qu'il avait repris à Haman, et le donna à Mardochée.

Comment pourrais-je supporter d'assister au malheur qui frapperait mon peuple, à la disparition de ma famille?» Le roi Assuérus dit à la reine Esther et au Juif Mardochée: «J'ai déjà donné la propriété d'Haman à Esther et lui-même a été pendu à une potence pour avoir tenté de porter la main contre les Juifs.

On convoqua alors les secrétaires du roi, le vingt-troisième jour du troisième mois, c'est-à-dire le mois de Sivan, et l'on écrivit un message en tout point conforme aux ordres de Mardochée et adressé aux Juifs, aux satrapes, aux gouverneurs et aux chefs des 127 provinces qui couvraient un territoire allant de l'Inde à l'Ethiopie, à chaque province dans son écriture et à chaque peuple dans sa langue, y compris aux Juifs dans leur écriture et dans leur langue.

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Mardochée sortit de chez le roi porteur d'un vêtement royal bleu et blanc, d'une grande couronne en or et d'un manteau en fin lin et en pourpre, au milieu des cris de joie et d'allégresse de la ville de Suse.

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De plus, tous les chefs de province, les satrapes, les gouverneurs et les fonctionnaires du roi soutenaient les Juifs, tant ils avaient peur de Mardochée.

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Mardochée enregistra ces événements par écrit et envoya des lettres à tous les Juifs installés dans toutes les provinces du roi Assuérus, qu'ils soient près ou loin.

Les Juifs s'engagèrent à poursuivre ce qu'ils avaient déjà commencé de faire et ce que Mardochée leur avait prescrit.

La reine Esther, fille d'Abichaïl, et le Juif Mardochée écrivirent une seconde fois, avec toute l'autorité qui était la leur, pour confirmer la lettre relative aux Pourim.

Porteuses d'un message de paix et de vérité, elles confirmaient la date fixée pour les jours de Pourim par le Juif Mardochée et la reine Esther, mais aussi par les Juifs eux-mêmes, pour eux et leur descendance et contenaient les instructions relatives aux jeûnes et aux cris qui les accompagnaient.

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Tout ce qu'il a accompli par sa puissance et sa force, ainsi que les détails sur le rôle important qu'il a accordé à Mardochée, cela est décrit dans les annales des rois des Mèdes et des Perses.

En effet, le Juif Mardochée était l'adjoint du roi Assuérus.

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Ils revinrent avec Zorobabel, Josué, Néhémie, Seraja, Reélaja, Mardochée, Bilshan, Mispar, Bigvaï, Rehum et Baana.

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Ils revinrent avec Zorobabel, Josué, Néhémie, Azaria, Raamia, Nachamani, Mardochée, Bilshan, Mispéreth, Bigvaï, Nehum et Baana.

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